La honte peut toucher tout ce qui fait de nous des êtres sociaux : honte par rapport à une personne ou à un groupe, honte familiale renfermée dans les secrets qui se transmettent de gré ou de force de génération en génération, honte financière, honte des dettes, honte de l’échec, honte générée par les réseaux sociaux malveillants … la honte est une mise au pilori,et, ancienne ou moderne, elle fait souffrir démesurément.
La honte « grave » est une attaque psychique qui peut, dans les cas les plus lourds, conduire à la mort. Le démon de la honte existe, il porte un nom et il s’engouffre dans les champs énergétiques de sa proie, pour la vampiriser à petit feu et la conduire à sa perte totale, si elle ne reçoit pas d’aide spirituelle, psychologique et souvent aussi, matérielle.
Au plan physique, la pulsion de honte active les mêmes zones du cerveau que la douleur, comme une brûlure psycho-émotionnelle – à répétition, car chaque fois qu’il faut se souvenir de l’épisode initial qui a suscité la honte, l’attaque revient, plus dure, plus destructrice, douloureuse, stérile.
Le diable, dit-on, veut que nous ayons honte, il veut que nous subissions des reproches, des embarras et toutes sortes de revers. Mais nous devons lui résister avec constance.
On peut la transformer, la changer en outil puissant de développement personnel, mais on peut difficilement le faire seul.e
Prenez rendez-vous pour trois séances : anamnèse, soin & bilan
Obtenez le soin uniquement : fourni avec livret
Extrait : Tout être social, donc nos animaux d’amour aussi, a un jour ressenti l’émotion de honte. Cela fait partie du « vivre ensemble » et représente une forme, souvent douloureuse, d’adaptation au groupe. La honte est un facteur dur et efficace d’intégration sociale. Elle développe notre QI moral et social. Après un problème, elle permet de restaurer dans la bienveillance, une situation momentanément perturbée et de l’amener un cran au-dessus. Ce qui se passe après la crise génératrice de honte, sera meilleur et plus équilibré.
La honte a activé des zones cérébrales spécifiques, le cerveau, le QI social, a mis en contact avec le ressenti terrible d’enfermement et d’exclusion, a généré son lot d’hormones de stress, mais sa résolution dans la bienveillance a restauré un sentiment …